hier.
"El ventorillo". si ce sont des taureaux alors les guillemets affichés tous les jours au sein du rond montois sont de mise, sûr.
Le quatrième exemplaire devait peindre des bodegones dans la pénombre du toril en attendant son tour avec la paire de pinceaux qu'on lui avait laissée au bout des cornes. une honte, pas pour l'histoire des arts plastiques mais pour celle du toreo.
l'animal le plus sérieux, le 5°, avait du tranco. les autres ventorillos? pues, para ventorillar...
jose mari manzanares use des canons d'une tauromachie qui , la seule, me fait sursauter même si l'adversaire donne un relief de combat à peu près lisse comme la calvitie du gallo.
toreo croisé, por dentro, rematando el toro detras de la cadera, con riñones, tauromachie de gouffre, entière et qui pèse . mucho kilates.
el juli est plus torero et poderoso de face mais au plumaçon il a choisi de surtout nous montrer ses fesses. ridicule.
miguel angel perrera a certainement avalé une horloge car sa muleta fait tic-tac, tic-tac, tic-tac...il a confondu le sable des landes avec la terre des helvètes. comme il pense qu'il ne nous a pas assez bien vanté le produit, il s'approche du client et reitère son numéro de bonimenteur au plus près du museau du cornupète. si quelqu'un veut acheter ou prendre l'adresse, il peut.
apparemment il démarche et s'enrichit auprès d'une clientèle ibère qui a toujours, il est vrai, aimé la bimbelotrie des grosses montres en faux plaqué mais rutilantes à souhait.
nota bene : je ne possède pas de tocante, un faenon de curro romero ayant magiquement fait s'évanouir la dernière qui m'appartenait il y a fort longtemps.
voilà.
c'est tout.
1 commentaire:
de acuerdo companero
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