une pause au creux de cette faena d'encre.
juste pour signaler que vient de se terminer le festival flamenco de nîmes.
et que le ciego ne s'y est pas rendu.
c'est loin, c'est loin,
c'est pour les beaux jours où on pourra fermer le bar en semaine et le week-end aussi. on concrétisera alors tout ce qu'on a toujours rêvé de faire : la feria de muchamiel et le festival flamenco de nimes.
entre autres choses.
mais françois bruschet de "campos y ruedos" m'a proposé tous les jours ou presque des photos à partager.
de belles photos.
habitées par la lumière des corps qui cherchent le chant.
car que l'on danse une pata por buleria ou que l'on joue por rondeña sur le manche d'une guitare esteso, ou a fortiori lorsqu'on entre por alegria par le fameux "tirititran" , on est dans la recherche de l'appel du chant, sa lutte des forces primordiales, son écho ancestral qui peut laisser exangue.
sans le chant, rien.
nous avons donc entamé une correspondance , un aller et retour des mots, entre son oeil avec sa main réunis (la main mène au coeur, l'oeil au cortex mais souvent ça se mélange) et mes impressions lointaines , subjectives, imprécises mais ouvertes à la sincérité des images et des mots de françois, mes digressions aussi, alliées à mes envies de communier cette aficion al flamenco qui taraude toute une partie de ma vie.
si la gageure vous dit, c'est par là.
juste pour signaler que vient de se terminer le festival flamenco de nîmes.
et que le ciego ne s'y est pas rendu.
c'est loin, c'est loin,
c'est pour les beaux jours où on pourra fermer le bar en semaine et le week-end aussi. on concrétisera alors tout ce qu'on a toujours rêvé de faire : la feria de muchamiel et le festival flamenco de nimes.
entre autres choses.
mais françois bruschet de "campos y ruedos" m'a proposé tous les jours ou presque des photos à partager.
de belles photos.
habitées par la lumière des corps qui cherchent le chant.
car que l'on danse une pata por buleria ou que l'on joue por rondeña sur le manche d'une guitare esteso, ou a fortiori lorsqu'on entre por alegria par le fameux "tirititran" , on est dans la recherche de l'appel du chant, sa lutte des forces primordiales, son écho ancestral qui peut laisser exangue.
sans le chant, rien.
nous avons donc entamé une correspondance , un aller et retour des mots, entre son oeil avec sa main réunis (la main mène au coeur, l'oeil au cortex mais souvent ça se mélange) et mes impressions lointaines , subjectives, imprécises mais ouvertes à la sincérité des images et des mots de françois, mes digressions aussi, alliées à mes envies de communier cette aficion al flamenco qui taraude toute une partie de ma vie.
si la gageure vous dit, c'est par là.
3 commentaires:
Muy bien Ludo!!!!!
ou quand l'aficion rencontre
l'aficion.
Olé a los dos, toros y flamenco te tocan el corazón
gracias por pasar aqui jeanmi, esta casa es suya.
lo sabes.
un abrazo.
ludo
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