cette année ( mais j'en avais déjà parlé l'an dernier ) le ciego roule la barrique des mots jusqu'à jurançon pour "poésie dans les chais" (18 & 19 septembre ). mon souhait : arriver à la mettre debout et echarme encima para una pataita por buleria.
sans me foutre en l'air.
ou alors con garbo. ça aurait de la gueule.
et puis écouter bobillot, bériou , bourda ( les 3 b ). découvrir sin red ( son de leon, leon y su barrio humedo.génial ) bruneaux, laurence vielle.
retrouver nicolas vargas.
plonger le regard dans les photos de duzert( loulou, ne te planque pas, je sais que des fois tu traines ta faconde par ici...) , les installations de vazemsky ( ne dites surtout pas à ce cher labordéructoréador que son dimitri va certainement tailler le bout de gras avec un aficionado, l'est fragile du bulbe le cricri ) .
et aussi croiser hayet, lasserre, mon cher jesus aured penseur-accordéoniste exigeant et tendre, bref, c'est humer le pampre de la vie, la vraie.
si vous cliquez ici, le programme vous tend ses pieds.
tout ça pour dire que ce genre de frivolités se prépare et que le bar tire donc le rideau quelque temps, disons 10 jours mas o menos.
allez, quand même, juste un peu de manseng à la bouche avec l'édito de l'orga de la manifestation, c'est à dire le collectif scène ouverte :
TRANSFONTALIERE POESIE
tout ça pour dire que ce genre de frivolités se prépare et que le bar tire donc le rideau quelque temps, disons 10 jours mas o menos.
allez, quand même, juste un peu de manseng à la bouche avec l'édito de l'orga de la manifestation, c'est à dire le collectif scène ouverte :
TRANSFONTALIERE POESIE
« Aujourd’hui, à Jurançon et ailleurs, les poètes lisent en public. Des improvisateurs, des lascars d’un type singulier, mi-virtuoses mi-sourciers. Parmi eux des « étrangers », des gens qui ont passé la frontière. Des chercheurs de sons et de sens. De quelle frontière parle-t-on? Tout cela est un drôle de travail, et une réflexion sur la lecture publique, et sur les rapports de l’écrit à la parole. Faut-il lire debout ? Assis ? En douceur ? En quelle langue? Doit-on traduire? Celui qui tient un saxophone, est-il un poète ? Le vigneron, un poète? Et l’accordéoniste ? Un poète doit-il tenir une feuille de papier dans les mains ? Simplifions la question: Un poète doit-il tenir ? Avec ou sans papier(s) ? "
7 commentaires:
Ludo,
Fais bien attention de pas tirer le rideau trop fort qu'il ne te choie sur les pieds, ceux-là même dont je ne doute pas qu'ils soient de ta part "objet de soins constants" (ainsi que l'intimait en son temps le manuel d'instruction à l'usage des "biffins" de l'armée française: "Que sont les pieds? - Les pieds sont l'objet de soins constants!"), soins constants qui te seront nécessaires pour parvenir jusqu'à Jurançon en capacité de bien rouler tes mots dans des barriques - ou le contraire suivant les facéties des instants!
Nous ne pouvons t'accompagner hélas qu'en pensée...
Bien à toi - Bernard
salut,
juste pour dire que le lien vers Sin Red est erroné, il conduit à un groupe de rock. Le bon lien est le suivant :
http://www.sinred.org/
À bientôt dans les chais...
Martine Joulia
Ludo: paso por aquí chutando, no me da siquiera tiempo a tomar café ni mucho menos a llevar tu texto al traductor y medio enterarme de lo que dices.
El dibujo precioso, buen y otoñal fin de semana te deseo.
La condesa de Estraza
Si c'est chez Ramonteu (domaine CAUHAPE) ça va être poétique, avec les noms de ses pinards...
de vuelta.poco a poco al blogoruedo. la verdad es me cuesta un pelin. pero los amigos, no.a ver :
bernard,
penser avec ses pieds pansés par le biffin.alexandrin.le soutien moral fut important.merci.
martine,
maintenant que ça y est , on se connait : merci pour la "rectif" et je t'embrasse.
condesa,
a mi el traductor me gusta usarlo de vez en cuando porque salen "cosas" que te hacen llorar de tanta risa. a veces es "ubuesco" ( a ver como le sale la palabra al traductor...o sea totalmente absurdo. conoce al personaje de ubu de alfred jarry ? ).gracias por su apoyo. da confianza, de verdad.un beso mi rayana.
xavier, non ce ne fut pas chez le père ramonteu. nigri, benguères.moins de prestige. mais autant de poésie: "les galets" "le chêne couché".
on en boira. c'est promis.
ludo
Yo prefiero no usar el traductor, porque a veces me netero mejor intuyendo el escrito que usando el traductor.
Lo emjor aprender idiomas, pero me ha pillado esto tan tardiamente.
Salud
tu es un genie, coro!
je fais pareil avec l'espagnol.
ne bois pas la caisse de vin!
Enregistrer un commentaire