Séville, Lundi 15 Avril en ce jour
abrite Abou le vénéneux.
Il dort enroulé dans la fraîcheur du
botijo de Jose Antonio Camacho
de La Puebla del Rio.
Qui gratte le goulot
Soudain ?
Le djinn démailloté furieux depuis sa
gargoulette aperçoit la mer en feu jeter de l'argile sous les
zapatillas trempées de tumeur mandarine
une corne
son éclair
se découpent un mouchoir
un pacte d'oubli
percent la poitrine du vénéneux
ajoutent à la constellation dispersée sur sa peau
un grain de lune.
Abou, il est tard, la nuit est là. Il
est saoul, il ne comprend pas pourquoi, assis sur un bord de trottoir
de la calle Circo.
Il est tard, Abou rentre chez lui, une
tache de vin sur sa chemise blanche, quand il la frotte il sait juste
que son cœur bat plus fort. Plus fort et plus lentement.
"Como temblaba mi corazon madre
como temblaba mi corazon solito por la calle..."
"Como temblaba mi corazon madre
como temblaba mi corazon solito por la calle..."
2 commentaires:
un texte comme celui ci fait aimer cette journée.
merci
abrazo
Merci Chulo. Nos vemos en st sever el 8 de Mayo ?
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