lundi 27 février 2012

Farruco II ( Va por ti, Maja Lola )



Les mêmes en la feria de Sevilla. Antonio Flores Montoya, pour moi, c'est le baile le plus proche du cante, le plus incarné. Je peux le regarder pendant des heures, des centaines de fois. Pas une seconde lassante, lourde ou inutile, pas de plan "machine à coudre". Juste la grâce et la puissance.
Los mismos, en la feria de Sevilla. Antonio Flores Montoya, para mi, es el baile mas allegado al cante, el mas encarnado. Puedo contemplarle durante horas, mil veces. Ni un minimo de cansancio, de pesadez o de futilidad, ni un plan de "maquina de coser". Solamente el embrujo y la fuerza.

ah, au fait,le bel article sur Farruco était signé Marie-Christine Vernay et il date de 1995. on peut le lire en passant par là.

3 commentaires:

Maja Lola a dit…

Elegante y con garbo flamenco ... c'est son baile qui dicte le cante, las palmas y la musica.

"A esta vida maldita
Ay siempre le falta una cosa
A quien mas la necesita"

Viva tu arte !

Merci Ludo

La condesa de Estraza a dit…

Ludo: me quedo 'pegá' a la pantalla, qué grande, tío, qué grande Farruco.

La condesa de Estraza

Maja Lola a dit…

Un régal ce dernier lundi de Falseta avec le § 8.
"Il avait découvert que le navire qui flotte sur le temps avance sans boussole et transporte des rêves".
La Maite y su cantiña es azucar puro.
La recette du riz au lapin me rappelle celle de ma grand'mère ... légèrement différente : "Arroz con conejo y caracoles serranos", plus levantine.

Ludo, dans le bandeau de présentation, au défilement d'images, j'ai cru reconnaître une peinture de Julio Romero de Torres. A mes yeux, un peintre qui a "capturé" comme personne la grâce de la femme andalouse d'une époque.
Est-ce trop demander d'en accrocher d'autres ?
Gracias, compadre !

P.S. : je n'ai pas pu mettre ce commentaire directement sur le blog "Falseta" (mes limites techniques)