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il avait ce corps
fleuve.
il croyait à la brassée de boue
surgie de la pesée des rêves
il en portait la secousse fertile.
il cherchait où le fragment devient
la forme sans rivets
mais qui joint la lèpre
et le fruit.
du cri de ses os
sortaient des sacs de crépuscule
il en riait.
il avait ce corps
fleuve
avec son coeur
sur la barque au milieu.
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nb : les photos sont de Jean-louis "Loulou" Duzert.
1 commentaire:
outchhhhhhhhhhhhhh! ludo!
quel texte!
j'aimerais tant qu'on puisse encore ainsi parler d'un torero,mais nos croupirions dans le ridicule!
fuerte abrazo
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