lundi 20 septembre 2010

Un toril jamais vide de sens



" Ce n'est pas un monde qui disparait, c'est la disparition qui est devenue notre monde " ( Claro / interview dans " Le Matricule des anges " )
La voix de " CosmoZ " riffait les pierres. La veille elle avait souqué la flotte qui transformait en buvard la place du Junqué. Ce que j'avais lu dans le train, passait à l'amble d'un lobe à l'autre.
je pensais alors juste à cette vidéo de Paula, à sa deuxième minute très exactement ( Va por Vd estimada Berrendita ) et au Juli, à son grand cirque des torchons et des serviettes.
avec au milieu Vazemsky , citant Leiris derrière sa talanquère en meuble de rangement de médiathèque , avec l'ombre de la corne  dans son aiguille " d' Escalabère ", un simple escabeau et une pile de livres en son dernier barreau. Dimitri torée l'accent et la " musica callada " de la lettre muette du mot " Poésie ". il le déplace et il la retourne. Parar, mandar, templar y recoger.
même loin des taureaux , un toril n'est jamais vide de sens.

1 commentaire:

kaparra a dit…

Bonjour monsieur ludo,coment sa va. Nada ,me pasaba por aqui y le mando un saludo. no me deja de sorprender la aficion que tienen por ahi arriba al Flamenco oiga. Sobre todo viendo la franja de terreno en donde yo vivo,aqui aborrecemos el flamenco de mala manera. Y asi por comentarle. Yo no habia nacido o hera muy crio cunado de Paula andaba dando kaña en los ruedos,pero despues de ver un monton de videos,no me gusta,sobre todo que viendo a los animalillos a los que se enfrentaba me dan mas pena que miedo,y eso,que me pasaba por aqui y le mando un saludo.
Agur Jaunak,yusca la prosen fua.